samedi 29 décembre 2012

La curieuse providence de fin d'année a voulu que je me retrouvasse en croisière à bord d'un monstre de luxe. Le Divina de la compagnie MSC. N'étant pas du genre à m'épanouir dans ce type d'environnement, j'ai pris la chose comme un exercice d'observation de la vie facile. Les premiers jours furent d'une grande productivité, inspiré par un esprit encore vierge et immaculé. Force m'a été de constater qu'il faut donner à ces premiers jours toute la vigueur qu'ils méritent, car les sirènes de la paresse se font chaque jour un peu plus pressantes. Si bien que nombres de dessins qui auraient eu toute leur pertinence dans le but que je m'étais donné, resteront à jamais perdus dans les méandres du jacuzzi et des cocktails...
Voici cependant les vestiges de la verve des premiers jours : la ville de Casablanca vue du 28ème étage d'un hôtel de luxe, le fier casino du bateau, un extrait de la parade à laquelle nous avions droit chaque soirée de Gala. un cliché aquarellé de ceux que je ne tardai pas à rejoindre, LE Divina en personne,  et enfin le port de gênes.